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Mémoires, les musées de la RMM retracent l’histoire de l’esclavage à travers le témoignage d’objets des musées

Mémoires, les musées de la RMM retracent l’histoire de l’esclavage à travers le témoignage d’objets des musées

Pendant le mois des mémoires (du 27 avril jusqu'au 10 juin), les Musées de la Métropole Rouen Normandie retracent l’histoire de l’esclavage et l’implication de la ville dans le commerce triangulaire, à travers le témoignage d’objets des musées.

En vidéo, et sur les réseaux sociaux vous découvrirez comment les Normands sont partis au Brésil avant l’Amérique du Nord, et ont participé à l’exploitation des forêts comme l’illustre cette boiserie sculptée : 

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Pour y accéder, cliquer ici 

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Bas-reliefs de Bois du Brésil de l’hôtel particulier du 17 rue Malpalu, Rouen Musée des Antiquités, Rouen

Ce n’est véritablement qu’au début du 17e siècle que Rouen participe au commerce triangulaire avec le développement du coton, et de la fabrication des « indiennes » dans la région avec la révolution textile.

 

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Extraits de tissus
Musée de la Corderie Vallois, Notre-Dame-de-Bondeville

Partout en France et à Rouen aussi, l'on célèbre la Journée nationale des mémoires de la traite, de l'esclavage et de leur abolition le lundi 10 mai 2021.

Avec un temps fort de ces célébrations cette année, une conférence sur la « Place de Rouen dans la traite négrière » est proposée, en ligne, lundi 10 mai à partir de 18h30.

Introduite par Nicolas Mayer-Rossignol, Président de la Métropole Rouen Normandie et Maire de Rouen, celle-ci réunit dans un Live à suivre sur la Page Facebook de la Ville : Joseph Carien (président de l'association Mas A IYO), Éric Saunier (enseignant-chercheur et maître de conférences en histoire moderne à l'Université de Normandie-Le Havre), Mathilde Schneider (directrice des Musées Beauvoisine) et Dominique Taffin (directrice de la Fondation pour la mémoire de l'esclavage). Les débats, auxquels participent également Laura Slimani, adjointe à la Lutte contre les discriminations notamment, seront animés par Rebecca Armstrong.